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Recherche par lecteur : Laurence Bardin

66 résultats. Page 4 sur 4.

Lu par : Laurence Bardin
Durée : 2h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 25349
Résumé:Au collège, Adèle, 14 ans, et Frédéric, son ami d'enfance, n'arrivent pas à se faire respecter. Ils ont l'idée de se faire passer pour un couple pour mieux s'intégrer. Pendant ce temps, leur ami Brian prend les deux jeunes en photo pour un travail qu'il doit faire. Adèle et Frédéric s'aperçoivent que la photo a servi pour une campagne d'information sur la contraception chez les jeunes...
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 3h. 19min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22549
Résumé:L'anneau dont Selma Lagerlöf nous raconte ici l'histoire inquiétante est celui que le roi Charles XII offrit à l'un de ses fidèles officiers, le général Bengt Löwensköld. De l'or et une belle agathe, de quoi attirer quelques convoitises, surtout quand tout le monde sait que le général a été enterré l'anneau au doigt. Le voleur sera Bard, paysan entraîné avec sa femme vers le cimetière alors qu'il pensait protéger le cadavre des détrousseurs. Fuyant les cendres de leur ferme découverte brûlée à leur retour, puis la mort de leur troupeau et le suicide de sa femme, Bard le paysan se réfugie en forêt. C'est là que, à la suite d'un accident de bûcheronnage, et se sentant mourir, il va confier son crime au pasteur que ses enfants sont allés quérir. Mais le cycle des convoitises est loin d'être achevé, et l'anneau mystérieux continue de susciter désirs, passions et maléfices. Ecrit en 1925, donc tardivement dans l'oeuvre de Selma Lagerlöf qui débuta en 1891, L'Anneau des Löwensköld suit de quelques années Le Banni, récit lui aussi profondément tragique. Selma Lagerlöf (1858-1940) déploie ici encore cet art exceptionnel de conteuse du fantastique, nourri des légendes et de l'histoire de sa région natale du Värmland (Suède), qui lui valut le prix Nobel de littérature en 1909 et une durable reconnaissance dans le monde des lettres.
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 9h. 50min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 26876
Résumé:Au XIXe siècle, trois hommes se rendent de Perse jusqu'à Paris, deux cent cinquante jours de marche, pour sauver les leurs de la misère et de l'esclavage. En 1828, le shah Fath Ali, vaincu, a été condamné à payer un très lourd tribut au tsar de toutes les Russies. C'est ainsi que, quelque part aux confins de l'Arménie, de la Turquie et de la Perse, les habitants du petit bourg chrétien de Khosrew Abad se retrouvèrent endettés sur plusieurs générations. L'un des villageois, sage et cultivé, se souvint d'un envoyé de Napoléon qui lui avait promis, le cas échéant, aide et assistance. Bravant tout, le vent, le sable des déserts, la peur, l'inconnu et les kilomètres, Chahèn le vieux sage taiseux, le colosse Bartev et Gaïdzag, seize ans, filou et prompt à voler si nécessaire, se mettent alors en route pour mener à bien leur improbable mission : trouver de l'argent... à Paris, capitale des droits de l'homme. L'épopée, extraordinaire, est véridique.
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 9h. 10min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 24940
Résumé:Parti, sur la foi d'une prophétie, des confins de la verte Normandie à la Sicile, puis aux Etats latins d'Orient, Tancrède s'évade des geôles d'Alep pour rejoindre Antioche où un mystérieux assassin sème la terreur. L'occasion pour lui de mettre en pratique l'enseignement de son maître Hugues de Tarse. C'est au coeur de cette terrible enquête, où s'affrontent les intérêts de Byzance et de Venise, qu'il croisera Naïri, la princesse arménienne, dont le regard couleur de Nil hantait ses rêves bien avant leur rencontre. Avec ce septième et dernier volume s'achève, mais est-ce bien une fin ? la saga de Tancrède d'Anaor.
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 7h. 30min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 22872
Résumé:Trois mètres de toile manquent à la tapisserie de Bayeux, qui décrivent les derniers rebondissements de l'invasion de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant. Que représentaient-ils ? Les historiens se perdent en conjectures. Une jeune conservatrice du patrimoine, Pénélope Breuil, ronge son frein au musée de la Tapisserie, à Bayeux. La directrice du musée, dont elle est l'adjointe, est victime d'un attentat. Des fragments de tapisserie réapparaissent à Drouot. Pénélope est convoquée par le patron du Louvre qui lui confie une mission discrète. Cette semaine-là, Diana, princesse de Galles, et Dodi al-Fayed, disparaissent sous le tunnel du pont de l'Alma. Devant Pénélope éberluée se déroule l'histoire secrète de la tapisserie. Un mystère qui débute en 1066 et se prolonge jusqu'à ces jours tragiques de 1997. Drôle de trame...
Lu par : Laurence Bardin
Durée : 14h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 27743
Résumé:" C'est en passant devant un kiosque à journaux du boulevard Pierre-Semard, à Nice, qu'Ondine apprit la mort de sa mère. Rares sont les écrivains qui font du bruit en quittant ce monde, Zita Chalitzine en fit beaucoup. Elle se débrouilla pour mourir comme elle avait vécu : en attirant l'attention. D'abord parce que le scandale qui l'avait entachée faisait les gros titres de la presse depuis une semaine, ensuite à cause de son mariage avec un homme de vingt ans son cadet deux jours avant la révélation de sa supercherie littéraire, enfin à cause de sa mort prématurée. Le 6 décembre 2006, rue de Paris, aux Lilas, on retrouva son corps à l'arrière de sa Mercedes. Elle portait un manteau en vison blanc. " Après l'enterrement de sa mère, Ondine découvre son dernier manuscrit, une autobiographie. On entre aussitôt dans la vie de cette petite fille d'origine modeste, prête à tout pour devenir quelqu'un. Fille de Madame Claude dans le Paris des années 1970 puis maîtresse du grand auteur Romain Kiev, elle accomplit enfin son rêve : écrire. Les fêtes, les belles voitures, Yves Saint Laurent, on suit Zita dans un tourbillon d'avant-crise mais aussi dans sa chute et dans sa déchéance. Quand on a été aussi haut, on ne peut que retomber très bas.